Jeff Chang:
- Leçon 1:
Sauver l’Amérique ou nous sauver nous-mêmes = essayer d’intégrer le reste de la société et vivre en harmonie (Martin Luther King) vs se créer une communauté séparée (Malcolm x dans sa jeunesse)
Hip-hop provient d’un besoin d’exprimer les émotions face à aux problèmes de leur communauté
Vidéo 1 : colère intense envers Jackson par son coach veut le frapper —pourquoi ressent-il cette colère? Ce n’est certainement pas seulement à cause du jeu…
Vidéo 2 : contraste entre la victoire d’un joueur noir aux séries vs l’exploitation du Bronx par le feu
Vidéo 3 : tous heureux d’avoir gagné grâce à Jackson, mais plusieurs de ses coéquipiers son offusqués par son salaire, même s’il on peut voir qu’il est un jouer essentiel.
Le public doit être confus de voir cette contradiction flagrante, oui peut-être certains l’acceptent-elle
Exercice : je ne suis pas sûre l’ordre dans lequel on doit les placer, je les ai donc positionné selon leur rôle dans la ligne du temps du hip-hop dans le cadre de notre cours et leur naissance.
Rosa Parks (1913-2005) — Jackie Robinson (1919-1972) — John F. Kennedy (1917-1963) —Malcolm X (1925-1965) — Martin Luther King (1925-1968) — Angela Davis (1944-) — Robert Moses (1888-1981)— DJ Cool Herc (1955-) — Afrika Bambaataa (1957-) — Grand Master Flash (1958-)
- Leçon2:
Vidéo: montre comment l’argent peut abattre une communauté, le pouvoir destructif de capitalisme et de l’ambition démesurée
Exercice : La similarité flagrante entre l’inquisition et la situation dans le Bronx est évidemment l’abus de pouvoir par les plus forts envers les plus faibles. La chasse aux sorcières avait pour but d’exploiter les femmes afin de sécuriser leur futur monétaire par des héritiers et de la main-d’œuvre. Moses fait la même chose en exploitant la communauté du Bronx afin de sécuriser son futur financier en construisant l’Expressway en plein milieu de leur résidence. Dans les deux cas, les exploités n’ont aucune issue à leur malheur.
- Leçon 3:
L’art nous aide à réaliser ces problèmes car il passe par nos émotions et non notre logique. Nous vivons dans un monde où nous somme constamment bombardés par de l’information, nous ne portons donc souvent pas attention lorsque quelqu’un nous rapporte une nouvelle choquante. Le faire passer par l’art attire notre attention, surtout si les couleurs sont vives et le rythme entrainant. Cependant, l’art n’aide pas seulement le public à vivre ces problèmes, c’est une façon pour l’artiste de condenser ses pensées et émotion en une pièce, ce qui lui permet de le voir plus clairement lorsque qu’on se sent perdu. L’art est un conduit d’une personne à l’autre, il nous permet de comprendre et de compatir.
- Leçon 4:
La création peut être très thérapeutique, même pour une société toute entière. Le prenant une situation traumatique et en l’élevant en œuvre d’art, on capturer notre vécu afin de le faire ressentir aux autres éternellement. Dans d’autres instances, on peut y trouver une certaine résolution. L’art est, à la base, une méthode d’expression, de communication de notre monde intérieur au monde extérieur.
- Leçon 5 :
Il est très intéressant de voir les débuts du graffiti alors que nous vivons dans l’ère de Banksy. D’une certaine façon, la forme a retenue son but initial : la révolte. Durant les années 70, le but était de se rebeller contre l’autorité, ceux qui étaient propriétaire de ces murs et donc, responsable de l’état de leur environnement. D’une certaine façon, on pourrait dire que cette forme de signature avait pour but de marquer un endroit comme sien, de le reprendre de ce même pouvoir. Une des marques de Banksy est qu’il tient fort à son anonymat, allant à l’encontre de notre monde constamment sous surveillance par une autorité quelconque. Dans les deux cas, on veut s’y prendre à l’oppresseur, « at The Man »