La sorcière
- Le rapport de la sorcière dans le cinéma
Les sorcières de Salem (1957) – drames, La chasse aux sorcières (1996)

Époque de maccarthysme – peur rouge
Basé sur du réel – Romancer un fait tragique
Associer des péchés religieux à de la sorcellerie/une peur
Une signification plus profonde, lié à la politique, la religion, à la société de l’époque
On les nommera coupable, oui sur le fait d’une trahison religieuse d’un péché maudit, mais le jugement proviendra surtout de la peur qu’on les gens de l’idée de la sorcière qui est instruites à l’époque.
Ils vont craindre un aspect qui est iréelle et basé sur l’imaginaire mais par peur ils vont acceptés l’incertitude en se convainquant que sous la pensée rationnelle, le péché est le péché et qu’il devrait être punit.
On retire l’être humain, on le rend objectif et on se base sur les connaissances, le raisonnement et les définitions qui définisse la société de l’époque pour juger une sentence.
La place de la femme dans une société de peur et d’injustice
Lien avec l’hypothèse d’Armelle le Bras Chappard
Différencier l’impact de l’église dans la chasse au sorcières vs. l’État
Dans la vision de l’Église la femme est en principe égale à l’homme alors que sous le pouvoir de l’Être humain/ l’Homme/le Père la femme perd sa crédibilité et sa place dans la lutte de pouvoir
VS.
Le magicien d’oz (2013)

L’association entre beauté/le charactère lié aux bons et aux mauvais
Représentation de la vengence/jalousie
Devenir mauvais vient avec la perte d’une « beauté idéal »
Définir mauvais? Dans le film, le personnage de la bonne sorcière devient méchante et cruelle à cause d’un empoisonement mais surtout, sa haine provient d’une trahison d’Oz. À cause de son innocance elle s’est fait piégé et deviendra donc à cause de sa peine et douleur la source de peur d’Oz et du village.
Le principe de vengeance fera d’elle une sorcière laide et cruelle
Basé sur une fantaisie
Le rôle de l’imagination – représentation de stéréotypes de la sorcière associé à une idée globale de la sorcière (peau verte, grand nez, laideur, vêtements foncés, rire diabolique, voler sur un balet, porte de grands chapeaux pointus etc. )

On met de côté l’aspect humain lié à l’image de la sorcière qui est basé sur la morale et on met de l’avant le charactère irréel/enfantin/imaginaire de la chose qui a été apporté avec l’évolution de notre culture.
Ex. Costumes d’Halloween, Harry Potter , les Comtes pour enfants etc.
- Le rapport de l’homme à la sorcellerie (théologie chrétienne – crime d’hérésie)
Crime d’hérésie? Doctrine contraire aux idées émises par une religion
L’inquisistion a été créer pour mettre fin à l’hérisie
La sorcière pratiquant des actes hors les normes de la religion et ayant un esprit qui ne se limitaient pas à la croyance, était donc reconnu comme coupable d’hérésie et c’était l’excuse utilisé pour les condamnés à leur sort.
L’homme dans la religion avait un pouvoir inaccessible à la femme.
Le mot père porta son importance dans le vocabulaire de l’époque autant concernant sa signification religieuse( rapport à dieu) , ainsi que par son rôle en société (rôle du père familial)
- Le lien entre l’homme et la femme – Rapport de l’homme à la nature, femme = pont vers la nature (rapport de la naissance, création de l’être humain)
La femme est considérer comme instable et inconnu, parce que tout comme la nature, l’homme n’a pas le contrôle ni la connaissance absolu de ce groupe de personne.
Une barrière d’ensemble s’y inscrit étant donné que la définition de l’Homme n’inclut pas la femme en tant qu’être humain
L’Homme définit le monde sous sa perception idéaliste et imaginaire
À travers son rationnalisme il catégorise la femme comme non, un être, mais bien un objet, une chose controlable et modelable à l’idée qu’ils construivent d’une société parfaite
Cette vision abstraite de la femme n’est pas seulement présente à travers la chasse aux sorcières mais aussi encore à ce jour sous les actes de sexismes
Le préjugé nait à travers les définitions exclusives qui sont mises en place à travers la pensée imaginaire des gens de pouvoir qui dirige notre société.
- Simone de beauvoir
Philosophe importante qui a développé une pensée critique envers la place de la femme et comment celle-ci est définit. Femme inspirante pour beaucoup qui va chercher à pousser l,idée d’égalité et de liberté.
- « N’oubliez jamais qu’il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question. Ces droits ne sont jamais acquis. Vous devrez rester vigilantes votre vie durant. »
- « On ne naît pas femme : on le devient. » – Simone de Beauvoir
- L’avortement
L’avortement est un bon exemple de la vision de la femme qui est inscrit dans notre société même à se jour
Les campagnes anti-avortement et « pro-life » vont démontrer qu’un foetus, qui est la représentation de l’être humain aura une vie, même en tant que foeutus non vivant, plus importante que la femme qui elle est belle et bien vivante.
Encore une fois, cette pensée controversée sera basé sur une idée de la vie très scientifique et « rationnelle » qui va alors faire fit de l’être humain en mettant de côté le contexte socio-économique et même l’impact sur la santé de l’humain, la femme, concerné.
C’est très contradictoire étant donné que l’argument premier qui est mentionné par ces gens sera le fait que l’avortement c’est le principe de retirer la vie à un être humain. Alors que la vie d’une femme et du corps de celle-ci est retiré de toute sa valeur en lui enlevant son droit aux choix.
- Maccartysme = Paranoia anti-communiste
- Pièce de théâtre « Moi, Jeanne »

Le personnage de Jeanne d’Arc : Bûché en 1431
Personne qui était passionné et porteuse d’un mouvement de force en France lors de la guerre de 100 ans
Gravure de Jeanne d’Arc, 1903, Albert Lynch
- L’importance de l’acceptance d’autrui ainsi que le cheminiement vers la découverte de soi
- Choix audacieux de fin : en décidant de ne pas tuer Jeanne, on mets l’accent sur la puissance de cette personne et la possibilité de liberté, on brise les catégories et les cases prédeterminés en société
- Un regard très puissant et sensible fasse au problématiques de l’époque
- Jeanne se fait traité de sorcière par sa différence (ne pas se reconnaitre à travers l’idée de ce qu’est la femme)
« Je ne suis pas une femme, je suis une guerrière »
Jeanne

Gravure de Jeanne d’Arc, 1903, Albert Lynch