1. Idées de question
  1. Quel est le degré d’importance que mon édiucation m’a apporté des cultures autochtones?
  2. Quelle est ma relation avec les cultures autochtones en temps que jeune Canadien Québécois immigrant?
  3. Suis-je dominant ou non dans la question sur les cultures autochtones, et comment je participe dans ce sytème?
  1. Question choisie et pourquoi

Dans le cadre de cette enquête, et ainsi donc pour la rédaction qui s’en suit, je choisit la question 2. Effectivement, c’est la question que je choisit, car j’ai beaucoup de vécu en lien avec cette question.

  1. Questions de recherche et liens intéressants
  1. Adoption des cultures autochtones (en temps que sujet) dans le système d’éducation Québécois:
  2. Culture autochtone à Montréal
  3. Livre d’histoire de 3e année à sec 4

4. Informations importantes

  • Il y a un énorme manque, encore aujourd’hui, d’exposition et de sensibilisation envers la question autochtone au sein du système éducatif québécois. On constate que les professeur, les directeurs et une grosse majorité du personnel en charge d’établissements, de cours et du système sont en manque d’information ou d’idées sur comment apprendre à une population (majoritairement blanche et dominante/oppressante) sur un peuple qui était sur cette Terre bien avant les premiers colons, ce qui signifie aussi que ce sont les ancêtres mêmes des gens maintenant en majorité même sur cette Terre. Ces sites parlent du problème et moins de l’actualité. Des solutions moins que la problématique. Pensée magique plus que tout.
  • Montréal, connu sous Tiohtià:ke, parle l’Inuktitut, le Cri, le Kanien’kéha, le Cri du Nord-Est, le Cri du Sud-Est, l’Innu, le Mi’kmaq, l’Algonquin, l’Atikamekw et autres. Montréal (Cela me fait du mal d’écrire ça, mais bon) se trouve être sur la réserve de Kahnawake. La culture est cruellement mal représentée, mais aussi Montréal reste un centre d’intérêt pour une panoplie d’autres cultures.
  • LEs livres d’histoires survolent et objectifient TOTALEMENT l’histoire autochtone du Canade/Québec. D’expérience personnelle, tout est bref et sur un mode de vie, jamais sur une vie, un combat où une histoire. Un peuple qui se fait anhéantir dans le silence.

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