La politique politique du gouvernement canadien est principalement axée sur les Premières nations depuis le début du XXe siècle. Les Inuits ne furent reconnus qu’en 1940, et la responsabilité spéciale envers les Métis et les peuples autochtones fut refusée jusqu’en 2016. Les puissances coloniales comme la France et l’Angleterre ont façonné les premières décennies de politique autochtone au Canada. Ainsi les premières nations sont décris comme des autochtones et toute personne qui ne fait pas parti des premières nations sont nommé les allochtones. À travers un voyage dans le temps, nous allons voir comment la relations entres les autochtones et les allochtones ont évoluer au fil du temps que ce soit au niveau politiques, sociales et culturelles à travers un portrait globale historique.

Premiers Contact autochtone allochtones alentour 1500: Pendant les premières années de la colonisation européenne, les premiers européens sont arrivés en Amérique du Nord, en s’appuyant sur des peuples autochtones plus nombreux et mieux adaptés pour survivre. Cela a conduit à des alliances commerciales et militaires, les français visant à convertir les peuples autochtones au christianisme et à les assimiler à la société française. Toutefois, la majorité des peuples autochtones ont continué de vivre en tant que nations indépendantes. Les colonies françaises et anglaises d’Amérique du Nord étaient constamment menacées par les anglais, qui constituaient une menace constante pour les communautés autochtones. Des alliances conflictuelles entre les groupes autochtones et les Européens ont commencé au XVIIe siècle, avec Samuel de Champlain formant une alliance avec les Hurons-Wendats. L’expansion de l’Empire français au XVIIe siècle a conduit à la résistance des peuples autochtones, avec la Proclamation royale de 1763 assurant leurs droits et leur intégrité territoriale.

Politiques et colonisation après la Confédération canadienne alentour 1860: La confédération canadienne a été la période durant lequel les autres provinces ce sont joint au dominion canada pour former le grand Canada qu’on connait maintenant. On est dans les années 1860 durant cette période. les gouvernements européens ont mis en œuvre des traités, des réserves et des politiques sociales paternalistes pour assimiler les autochtones dans la population générale. Au fur et à mesure de l’expansion des colonies dans le Haut-Canada, des traités ont été conclus pour protéger les droits des autochtones. Toutefois, aucun traité territorial n’a été conclu dans les colonies des Maritimes ou du Québec. À mesure que la population augmentait, les autochtones, principalement les Premières nations, se déplaçaient dans des réserves, organisées par des fonctionnaires du gouvernement indien et des gestionnaires de terres locaux. Ces agents ont encouragé les autochtones à devenir autonomes et à vivre comme une population de la région environnante. C’est vraiment a cette époques que naîtra plusieurs politiques d’assimilations.

L’introduction du statut d’indien 1876: Le statut d’Indien est une identité légale définie par la Loi sur les Indiens au Canada. Il s’applique à certains peuples autochtones. Les personnes ayant le statut d’Indien remplissent les conditions énoncées dans la loi. En effet, La Loi constitutionnelle canadienne de 1982 définit trois groupes autochtones : les Indiens, les Inuits et les Métis. Les membres des Premières nations ne sont pas tous autochtones, ce qui signifie qu’ils n’ont pas le statut juridique d’autochtones. Indien est une identité juridique définie en 1876, et ceux qui répondent à tous les critères ont le statut d’indigènes. Le Registre des Indiens, le dossier officiel de tous les peuples autochtones au Canada, contient leurs noms, leurs dates de naissance et de décès, les détails du mariage et du divorce, ainsi que les transferts de biens. Les peuples autochtones ont droit à divers avantages, droits, programmes et services offerts par les gouvernements fédéral, provincial et territorial. Toutefois, l’enregistrement ne garantit pas certains droits, comme vivre dans une réserve.

Le droit de vote des autochtones : Après la Confédération, les peuples autochtones ont eu le droit de voter dès 1867, mais ils devaient renoncer à leur statut d’Indien et à leurs droits issus des traités en échange. Cette émancipation leur permettait d’embrasser pleinement les droits et obligations des autres citoyens canadiens. Donc c’est à partir des années 1960 que les autochtones ont eu le droit de vote mais ils devaient renoncé a être un indien. Cela voudrait dire d’oublié leur culture et devenir complètement canadien en participant aux prises de décisions

Pensionnat indiens : le terme “pensionnats indiens” désigne généralement les écoles créées après 1880. C’était des écoles religieuse financé par le gouvernement Canadien.  Les pensionnats indiens avaient pour objectif d’éduquer les jeunes Autochtones, de les convertir au christianisme et de les assimiler à la société canadienne. Ils ont été créés par les églises chrétiennes et le gouvernement du Canada.  On estime que près de 150 000 enfants inuits, métis et des Premières Nations ont fréquenté les pensionnats indiens. Ces écoles ont perturbé les existences et les communautés autochtones. Environ 6 000 enfants sont décédés dans les pensionnats.  Au total, il y a eu environ 130 pensionnats indiens au Canada de 1831 à 1996. Le nombre maximum de pensionnats a été atteint en 1931, avec 80 établissements. Le pensionnat Gordon à Punnichy, en Saskatchewan,a fermé ses portes en 1996. Le premier ministre Harper a présenté des excuses publique en 2008 au peuple autochtone. Ces événements ont marqué une étape importante dans la reconnaissance des souffrances subies par les peuples autochtones à cause des pensionnats indiens. Le 30 Septembre on recommande aux canadiens de porter la couleur oranges pour rendre hommages aux survivants des pensionnats.

L’autodétermination des autochtones pour une autonomie gouvernementale: Les peuples autochtones ont exercé leurs propres formes de gouvernement pendant des milliers d’années avant l’arrivée des Européens au Canada. Au fil du temps, des lois et politiques coloniales ont érodé ces relations, notamment la Loi sur les Indiens de 1876, qui a imposé un système de gouvernance colonial aux communautés des Premières Nations. Le Canada s’engage maintenant dans un processus de réconciliation pour renouveler les relations de nation à nation et favoriser l’autodétermination des Autochtones. Ces ententes permettront aux groupes autochtones d’assumer davantage de responsabilité et de contrôle sur leurs affaires internes. C’est de leur rendre la liberté qu’on a leur ont été ôté parce qu’on pensait qu’ils n’étaient pas civiliser comme les allochtones.

En bref, comme on peut le voir dans cette enquête, les interactions entre les populations allochtones et autochtones ont-elles évolué au fil du temps. ces interactions ont été marquées par des moments de coopération, de conflit, de transformation et de résilience. Elles continuent d’évoluer aujourd’hui, avec des efforts pour reconnaître les droits et la culture des peuples autochtones au Canada. En gros, le Canada est dans un processus de décolonisation.

SOURCES

Peuples autochtones et politique gouvernementale au Canada | l’Encyclopédie Canadienne (thecanadianencyclopedia.ca)

Statut d’Indien | l’Encyclopédie Canadienne (thecanadianencyclopedia.ca)

Au sujet du statut d’Indien (sac-isc.gc.ca)

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