J’ai fait l’écoute du balade Laissez-nous raconter: L’Histoire crochie. Ce balado laissait au intervenant autochtones le temps de s’exprimer sur l’histoire raconter par les « blancs ». Il y a un grand mûr qui sépare les deux parties et elle ne peut pas être défaite. Dans le balade, les intervenants veulent un changement et une bonne relation avec les canadiens, mais il y a tellement de blessures qui va devoir être rouvertes lorsqu’il va être le temps de se réconcilier.
Nous devons commencer avec la racine de tout les problème : la colonisation. Elle existe encore aujourd’hui parce qu’elle est redu comme une habitude de vie. Nous sommes habituer de pratiquer la colonisation envers des groupes dominé. ce n’est pas complètement de notre faute, il faut juste réaliser les conséquences de nos actions.
la langue est coloniser et l’histoire est manipuler. Dans le Balados, les réalisateurs fait ressortir 11 mots qui ont été coloniser parles « blancs ». Seulement 11 mot peuvent avoir beaucoup de pouvoir sur l’histoire. Ses mots changent de nature pour cacher une réalité qui fait ressortir les actions des colonisateurs. C’est décolonisant un mot à la fois que nous serons capable de redresser l’histoire, nos esprits et cette relation.

Découverte I Sauvage I Pocahontas I Dieu I Obéir I Réserve I École I Nom de famille I Indian Time I Bannique I Réconciliation.
Imagination
L’imagination est vu comme une manière de pensé moins sûr que la manière de pensé rationnelle. Cependant, plusieurs mathématiciens ont utilisé l’imagination pour en venir à des calculs mathématiques pour expliquer plusieurs phénomènes. Donc, la manière de pensé avec l’imagination n’est pas moins sûr que la manière de pensé rationnelle et le mot « imagination » ne doit pas seulement être décrite comme une « situation dont il n’a pas eu une expérience directes » parce qu’il renvoie à l’idée qu’une pensé n’est pas réaliste si nous n’avons pas de preuve.
Il y a plusieurs preuve qu’ils ont été pas vrai.
Les « sauveurs »
Il y a un vouloir de notre part de se redresser et de refaire la relation entre les canadiens et les autochtones. Nous avons un vouloir de trouver une solution et de résoudre tout les problèmes. Nous voulons être les sauveurs de cette relation, mais nous sautons à cette étape trop vite. Les blessures ne sont pas encore guérit et nous voulons tout de suite passer à d’autre affaires, comme si cette histoire était en arrière de nous, laisser dans le passé. Malheureusement, cette histoire existe encore et il y a encore des habitude de colonisation.
Nous n’avons pas eu la chance de s’assoir et de s’écouter. Nous devinons se qui pourrait guérir l’autre partie sans même les écouter. Nous n’avons même pas fait le premier pat pour la guérison, mais nous voulons passer à la dernière étape.
Dans un relation, il n’y a pas un sauveurs qui répare tous les problèmes pour les deux. Il y a une discussion et une entente.
Une réconciliation.