Que c’est-il réellement passé ? Quels sont les réalités des peuples autochtones ? Une entente aurait-il été possible entre les colonisateurs et les peuples autochtones ?
L’histoire de la situation entre les colonisateurs et les peuples autochtones diffère énormément dépendant de qui est l’auteur de l’histoire. En lisant des texte issus de communauté autochtone par rapport à l’arrivé des colons versus une texte écrit par les colonisateurs l’histoire n’est pas le même, limite on parle de deux choses complètement différente. J’ai décidé de me référer au contexte historique en essayant de me baser sur des textes des deux parties, afin d’essayer de bien comprendre la situation.
Je me demande si une entente aurait pu être possible entre les communauté autochtones et les colonisateurs. J’ai lu l’historique de la » loi sur les Indiens » afin de comprendre dans quelle état d’esprit était les colonisateurs à l’époque. Ce que j’ai lu m’a paru a première vu m’a extrêmement choqué, mais j’ai essayer au mieux de laisser de côté, mais a priori afin d’en faire le plus possible une analyse objective.
En lisant l’historique de la loi, j’ai séparé certains passages en 3 sections, soit la problématique de la langue, les terres et l’assimilation.
J’ai aussi ajouté les l’historique des la loi sous forme de date.
Après l’analyse de tout se que j’ai recensé, je vais me positionner à savoir si une entente aurait été possible et les raisons pourquoi elle n’a pas eu lieu.
LA LANGUE
« Il devrait être adopté des mesures pour introduire et répandre la religion Chrétienne parmi tous les Sauvages résidant dans la Province, et pour les former en établissements. »
La barrière de la langue était problématique. Ils ont utilisé l’art afin de faire passer des propos. Ils les ont ainsi manipuler par l’art. De plus, la représentation des autochtones qui était fait dans les contre rendu des explorateurs les dépeignant comme des animaux et des créatures étranges.



LES TERRES – COLONIALISME – CAPITALISME
Traité de Paris 1763
« Avant 1850, aucune loi ne protégeait expressément les terres des Indiens contre l’intrusion et la fraude. »
« les terres des Indiens étaient déclarées « terres de la Couronne » pour les protéger contre l’empiétement et les dommages. »
« Le gouvernement croyait encore qu’il était souhaitable pour le progrès des peuples indiens qu’ils adoptent un mode de vie sédentaire. »
Une de mes hypothèses par rapport aux terres et le colonialisme est le fait que les Français vivant dans un monde qui était déjà capitaliste, avaient une vision de la terre comme étant un produit qui permettait d’avoir de l’argent et du pouvoir. Je pense qu’en venant en Amérique, les colons français ont adopté la même vision des terres qu’ils avaient en France et l’on retranscrit ici. Ils ne se sont pas poser la question s’il y avait une autre manière de voir la terre. Pour les communautés autochtones, la terre est sacrée et on lui doit tout. Elle fait partie de nombreux rituels et le plus importants est de la respecter et de la chérir. Les Français ont donc, selon moi, pris pour acquis que leur perspective était la seule.
De plus, le territoire que les autochtones possèdait était trop gand pour le nombre d’habitant qu’ils avaient. Le gouvernement les a donc forcer d’habiter un plus petit territoire.
INFANTILISATION – L’ASSIMILATION
« Les commissaires étaient d’avis qu’il était souhaitable de mettre fin â la tutelle des Indiens dès qu’ils pourraient subvenir à leurs besoins, et que les privilèges liés à la citoyenneté inciteraient les Indiens à faire des efforts plus grands. »
« Elle interdisait la mise en gage ou l’échange par les Indiens de marchandises pour des boissons alcooliques, et elle assurait la protection des biens des Indiens acquis sous forme de présents ou d’annuités. »
« L’article VII de la loi de 1857 tendant à encourager la civilisation graduelle contenait des mesures, sous forme de biens et de sommes d’argents, propres à encourager les Indiens à quitter les sociétés tribales et à demander 1’émancipation. »
« Comme le but du système était d’accoutumer graduellement les sauvages à ne pas compter tou- jours sur la couronne, chaque année successive voit se détacher un des chaînons auxquels les aborigènes se rattachaient si fortement. »
« Néan- moins, ils conservaient leur optimisme à l’égard de la civilisation et de l’assimilation éventuelle des Indiens et de la disparition du département des Affaires indiennes. »
« Les années qu’ils ont passées, et durant les- quelles il a été fait si peu pour leur avencement religieux, intellectuel et social, ont vu périr bien des générations »
CONTEXTE HISTORIQUE – RELATIONS
https://publications.gc.ca/collections/collection_2017/aanc-inac/R32-342-1980-fra.pd