Afin de garantir leur impartialité au cours de l’élaboration des principes de justice, les participant.es à la délibération devront tout ignorer de leurs attributs naturels et de leur condition socioéconomique réelle.
Afin de pouvoir en faire abstraction, identifiez chacun pour soi ses principaux attributs naturels (physiques, psychologiques), socioéconomiques ainsi que ses intérêts personnels.
Toujours dans le but de pouvoir vous défaire de ce que vous observez dans les faits, décrivez en équipe les principales conditions socioéconomiques dont sont issus les individus vivant dans notre société.
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Solidarité féminine
Étudiant
Francophone
Canada/pays ouvert
Classe moyenne/aisée
Ouverture d’esprit
Études
– l’argent
– le travail
– l’école
– Blanc
– Femme
– Cisgenre
– Francophone
– Classe moyenne élevée
– Banlieue / Montréal
– Jeune (18-19)
– Arts (visuels et littéraires)
– Volonté justice sociale
– Études supérieures
Conditions socioéconomiques des individus dans nos sociétés :
– Niveau / accès de scolarité
– Indépendance financière
– Responsabilité familiale (parent ou aidant naturel)
– PIB, situation financière du pays
– Environnement culturel
– Division des classes
Attributs personnels
– accès à un logement
– pas besoin de me soucier de la nourriture
– accès à des soins de santé (assurance maladie)
– accès à l’éducation supérieure
– au sommet du privilège
Principales conditions socioéconomiques
– aristocratie/élite
– richesse
– classe moyenne
– pauvreté
– minorité
– dépendance à l’état
– réfugié
-La santé
-Le travail
-La langue
-L’intégrité sociale
-L’éducation
-Les accomplissements
-La culture
-L’argent
-Le genre
-L’estime de soi
-Valeurs
Mes principaux attributs naturels, socioéconomiques ainsi que mes intérêts personnels:
-Pouvoir être en santé (physique et mentale)
-Pouvoir dormir et relaxer
-Pouvoir se nourrir sans s’inquiéter de l’argent
-Etre éduquer
-Avoir une sécurité monaitaire et de travail
-Etre accompli
Les principales conditions socioéconomiques:
-niveau de revenu
-niveau monétaire
-éducation
-prestige
-situation alimentaire
-marché du travail
Selon ceci, ça montre que beaucoup veulent une situation stable ou parfois, plus que stable. Pour réussir dans la vie, la société nous demande d’avoir de l’argent. Par exemple, pour accéder à l’éducation supérieure, on doit avoir une sécurité financière, sinon c’est là qu’on devient pauvre. Etre né dans une famille riche est la meilleure chose pour réussir.
Les conditions socioéconomiques sont assez variées et inégalitaires dans notre société. En effet, les différentes classes sociales donnent lieu à une disparité entre les individus. Ainsi, certains viennent au monde dans des conditions plus aisées alors que d’autres subissent le ressort de notre monde capitaliste et naissent sans moyens. Il n’en reste pas moins que la plupart veulent acquérir le plus de biens et d’argent au cours de leur vie afin d’obtenir le pouvoir de combler leurs besoins.
– La situation économique
– La situation sociale
– La discrimination de différentes classes sociales
– La discrimination de différentes races
Aussi, les individus nés dans une famille aisée ont plus de chance d’avoir des opportunités vu leur situation hiérarchique et sociale favorable.
Toujours dans le but de pouvoir vous défaire de ce que vous observez dans les faits, décrivez en équipe les principales conditions socioéconomiques dont sont issus les individus vivant dans notre société.
-Manger et vivre vs. Manger pour survivre
-Anonyme, Individuel, Chacun pour soi
-Division de classes basés sur l’argent (économique)
-Forcé de vivre en fonction de l’argent et du futur
-Éducation poussant à ce mode de penser
-Nous ne sommes plus basé sur la survie, mais sur le confort
-Ceux qui vivent le moment présent et ceux qui agissent en fontion du futur
Dans notre société actuelle, les gens sont avantagés lorsqu’ils sont nés dans une famille avec de bons moyens économiques. Aussi, on doit avoir des valeurs similaires à celles qui prédominent dans la société. Finalement, il y a un clair avantage lorsque nous appartenons à l’ethnie dominante du milieu ou nous vivons.
– Le métier
– Le niveau d’éducation
– La langue
– Situation familiale, entourage
– Caractéristiques physiologiques
– Classe sociale
– Milieu d’origine
– Identité de genre
– Orientation sexuelle
– Idéologies politiques
– Religion
– Handicap, restrictions physiques
Pour survivre dans la société d’aujourd’hui, il faut se fier sur l’argent. Naître dans une famille fortunée et d’une ethnicité majoritaire de l’endroit dans lequel on vit est un énorme avantage à la survie et même au bonheur d’une personne. Le système socioéconomique est plus que présent dans nos vies et c’est pour cette raison qu’il est également présent dans notre éducation obligatoire.
Pour réussir dans notre société il faut respecter certaines conditions. Il est toujours bien d’avoir une famille fortunée, puisque cela permet d’avoir une base qui donne le pouvoir de faire ce que l’ont veut. De plus, il ne faut pas se le cacher, les personnes à peau blanche sont plus portée à réussir, c’est comme si dans une course à obstacle, les personnes de couleurs étaient les seules avec des obstacles pendant que les blancs peuvent faire un sprint normal. Finalement, être un homme hétérosexuel rend les choses encore plus facile, car ce groupe vit le moins d’injustice
Les différences économiques entre les individus instaurent un système de pouvoir. Entre un québécois.e qui survit par son unique paie au deux semaines (également par un coussin monétaire en cas d’incident pour certains) et un.e autre qui se permet de dépenser sans réfléchir, on peut croire que le premier cas est économiquement jugé et perçu comme plus faible que le second.
Les conditions dans laquelle sont né les personnes ainsi que leurs éducation jouent beaucoup sur leurs situations socioéconomiques. Les personnes né dans la richesse ont souvent plus de chance d’avoir une bonne position économique que ceux qui sont né dans la pauvreté.
Effectivement, les chances de pouvoir sortir de sa situation socio-économique sont très basses. Le système d’éducation s’en assure d’ailleurs. Si je prends mon exemple personnel, mes parents sont professeurs à l’université, ils ont donc un haut niveau d’études. Ils avaient l’argent de m’envoyer dans les meilleures écoles et j’obtenais de bonnes notes grâce à l’éducation de mes parents. Cela me fraie un chemin assez optimiste. Cela est injuste selon moi car beaucoup de gens qui sont nés dans une situation socio-économique différentes sont sûrement plus intelligents et doués que moi, mais n’ont pas les mêmes chances.
Il y a un large éventail de conditions socioéconomiques dans lesquelles les individus peuvent se retrouver. Ces situations peuvent être définies selon plusieurs facteurs tels que l’éducation, la situation socioéconomique dans laquelle une personne naît, l’accès aux opportunités, etc. La marginalisation de certains groupes et la hiérarchisation de ces groupes peut brimer leur accès à ces facteurs, ce qui crée une pauvreté institutionnalisée de certaines communautés.
Je suis en parfait accord avec l’idée de Juliette, elle représente très bien mon opinion sur le sujet. Cependant, je ne pense pas atteindre une parfaite impartialité, je demeure dans le mépris du peuple blanc dont je fais partie pour les actions du passé et l’ignorance du sujet.
Juliette a mis en mot mes pensées les plus clairs.
Pour vivre dans une société, certains besoins doivent être comblés pour que l’individu puisse s’accomplir :
– Besoins physiologiques
– Besoins de sécurité
– Besoins d’appartenance
– Besoins d’estime
– Besoin de s’accomplir
Cette réponse convient mieux à la fenêtre suivante, vous pourrez la reprendre. Il s’agissait au contraire de décrire ce que nous observons dans les faits. Mais si vous êtes déjà en état d’impartialité ce n’est pas plus grave.
Je crois que ton commentaire correspond exactement à mon idée, je pense aussi que l’on peut se baser sur la pyramide de Maslow.