3 Replies to “Féminisme, écologie et résistance politique”
Je crois que le faite que les femmes prennent l’image de la sorcière contre l’a société, qui lui avait donner cette image durant le Moyen-Âge, rend la chose ironique. Non mais ses comme si avant la société pointait une dague sur l’image de la femme, mais maintenant, ses la femme qui pointe une dague sur l’état. Je crois que cela est une très bonne idée puisque cela donne une sorte de pouvoir à la femme. Par contre, il faudrait faire attention a ne pas trop exagérer cela puisque l’effet inverse pourrait les gens pourraient vraiment commencer a prendre la femme comme une sorcière et l’effet inverse pourrait se créer.
Je ne m’identifie pas en tant que sorcière dans sa définition contemporaine car je ne crois pas que jeter des sorts à Donald Trump va faire disparaitre sa misogynie. Ceci étant dit, je m’identifie grandement aux caractéristiques qu’incarnent la sorcière: la désobéissance, le rejet des valeurs patriarcales, l’indépendance, la communion avec la nature plutôt que la domination de celle-ci, la force de caractère, etc. J’aurais probablement passé au feu assez rapidement si j’avais été contemporaine à ces « érudits » à la masculinité fragile. Pour ce qui est de l’espace public, je ne fais pas non plus le grand bonheur de plusieurs hommes. En effet, j’utilise ma plateforme sur les réseaux sociaux pour soulever des problématiques sociales, en particulier en lien avec les inégalités de genre. Aussi, j’essaie de briser les chaines qui me contraignent à dépendre du male gaze pour avoir confiance en moi et je considère que d’exprimer sa confiance en soi, de ne pas feindre l’humilité et la docilité, est, en soi, un acte de résistance. D’ailleurs, malgré la montée en popularité du féminisme dans les dernières années, l’heure n’est pas à la célébration ni au relâchement. Plus précisément, le paysage féministe est assez sournois par les temps qui courent puisque la plupart des gens s’identifient en temps que féministe, tant et aussi longtemps que le statut quo n’est pas menacé. Ainsi, la dissidence comme celle que je semble proposer, est perçue (inconsciemment, certes) comme un danger pour les privilégiés du patriarcat capitaliste que je dénonce. J’ai une réputation de « féministe trop intense frustrée » et honnêtement, ca m’enchante,
Les sorcières d’avant étaient un bel exemple des féministes d’aujourd’hui. Elles luttaient pour une liberté, pour la justice, elles ne voulaient pas se conformer aux normes de la société aux choses qui leur étaient imposées. Ainsi, c’est la liberté d’expression de celles-ci qui causaient le problème. Elles ne voulaient pas être sous l’emprise du patriarcat et c’est en partie ce qui a mené la mort de millier de femmes militantes. Elles étaient indispensables pour l’évolution de la société dans laquelle elles vivaient. Il s’agit certainement d’acte de misogynie de vouloir supprimer ces femmes ayant un caractère et une sexualité assumée en quoi, était-ce mal ? Au contraire, je trouve remarquable que ces femmes n’aient pas eu peur de lutter pour démontrer leurs propres valeurs et décisions. L’indépendance et la différence ne plaisaient pas au système imposé du patriarcat. Pourquoi ne pas vouloir laisser ces femmes penser et vivre selon leur propre principe et non ceux imposer. Pourquoi vouloir forcer la maternité à une femme qui ne le désire pas ? Son corps son choix, il me semble que c’est un concept très simple qui aurait dû être appliqué bien avant. Comme le dit Mona Chollet dans son livre. «La sorcière, devient l’incarnation de la femme qui refuse la soumission aux normes et aux contraintes sociales. » Aujourd’hui, ce sont ses sorcières modernes féministes qui participe à des mouvements importants pour lutter contre le racisme, l’environnement, le droit des LGBTQ +, etc. C’est remarquable et important d’être impliqué socialement pour faire avancer les choses et ce sont ces aspects positifs qui auraient du être souligner chez la sorcière qui fût tuée pour c’est principes plus que valide et assumé. La société auraient dû en prendre en considération leur façon de penser et l’appliqué tout comme l’ont su faire ces grandes pionnières.
Je crois que le faite que les femmes prennent l’image de la sorcière contre l’a société, qui lui avait donner cette image durant le Moyen-Âge, rend la chose ironique. Non mais ses comme si avant la société pointait une dague sur l’image de la femme, mais maintenant, ses la femme qui pointe une dague sur l’état. Je crois que cela est une très bonne idée puisque cela donne une sorte de pouvoir à la femme. Par contre, il faudrait faire attention a ne pas trop exagérer cela puisque l’effet inverse pourrait les gens pourraient vraiment commencer a prendre la femme comme une sorcière et l’effet inverse pourrait se créer.
Je ne m’identifie pas en tant que sorcière dans sa définition contemporaine car je ne crois pas que jeter des sorts à Donald Trump va faire disparaitre sa misogynie. Ceci étant dit, je m’identifie grandement aux caractéristiques qu’incarnent la sorcière: la désobéissance, le rejet des valeurs patriarcales, l’indépendance, la communion avec la nature plutôt que la domination de celle-ci, la force de caractère, etc. J’aurais probablement passé au feu assez rapidement si j’avais été contemporaine à ces « érudits » à la masculinité fragile. Pour ce qui est de l’espace public, je ne fais pas non plus le grand bonheur de plusieurs hommes. En effet, j’utilise ma plateforme sur les réseaux sociaux pour soulever des problématiques sociales, en particulier en lien avec les inégalités de genre. Aussi, j’essaie de briser les chaines qui me contraignent à dépendre du male gaze pour avoir confiance en moi et je considère que d’exprimer sa confiance en soi, de ne pas feindre l’humilité et la docilité, est, en soi, un acte de résistance. D’ailleurs, malgré la montée en popularité du féminisme dans les dernières années, l’heure n’est pas à la célébration ni au relâchement. Plus précisément, le paysage féministe est assez sournois par les temps qui courent puisque la plupart des gens s’identifient en temps que féministe, tant et aussi longtemps que le statut quo n’est pas menacé. Ainsi, la dissidence comme celle que je semble proposer, est perçue (inconsciemment, certes) comme un danger pour les privilégiés du patriarcat capitaliste que je dénonce. J’ai une réputation de « féministe trop intense frustrée » et honnêtement, ca m’enchante,
Les sorcières d’avant étaient un bel exemple des féministes d’aujourd’hui. Elles luttaient pour une liberté, pour la justice, elles ne voulaient pas se conformer aux normes de la société aux choses qui leur étaient imposées. Ainsi, c’est la liberté d’expression de celles-ci qui causaient le problème. Elles ne voulaient pas être sous l’emprise du patriarcat et c’est en partie ce qui a mené la mort de millier de femmes militantes. Elles étaient indispensables pour l’évolution de la société dans laquelle elles vivaient. Il s’agit certainement d’acte de misogynie de vouloir supprimer ces femmes ayant un caractère et une sexualité assumée en quoi, était-ce mal ? Au contraire, je trouve remarquable que ces femmes n’aient pas eu peur de lutter pour démontrer leurs propres valeurs et décisions. L’indépendance et la différence ne plaisaient pas au système imposé du patriarcat. Pourquoi ne pas vouloir laisser ces femmes penser et vivre selon leur propre principe et non ceux imposer. Pourquoi vouloir forcer la maternité à une femme qui ne le désire pas ? Son corps son choix, il me semble que c’est un concept très simple qui aurait dû être appliqué bien avant. Comme le dit Mona Chollet dans son livre. «La sorcière, devient l’incarnation de la femme qui refuse la soumission aux normes et aux contraintes sociales. » Aujourd’hui, ce sont ses sorcières modernes féministes qui participe à des mouvements importants pour lutter contre le racisme, l’environnement, le droit des LGBTQ +, etc. C’est remarquable et important d’être impliqué socialement pour faire avancer les choses et ce sont ces aspects positifs qui auraient du être souligner chez la sorcière qui fût tuée pour c’est principes plus que valide et assumé. La société auraient dû en prendre en considération leur façon de penser et l’appliqué tout comme l’ont su faire ces grandes pionnières.