Est-ce que cet imaginaire à caractère spirituel libère sa communauté ou s’il tend à la couper des réalités sociales?
7 Replies to “Imaginaire et spiritualité des sorcières”
La spiritualité est quelque chose de rassurant pour grand nombre d’individus qui vivent dans un monde ou` le réel est difficilement accepté. Un certain espoir se dégage de croyances spirituelles, puisqu’elles permettent à l’individu moyen d’espérer un meilleur futur. Ces croyances font partie intégrante de de l’imaginaire de la population, tout comme la représentation de la figure de la sorcière. Les Wiccas et sorcières représentent, pour beaucoup d’individus, une menace à leur futur, puisqu’ils ne contestent pas les croyances religieuses qui leur sont présentées. En effet, l’Église rejette la Wicca pour plusieurs raisons : son caractère institutionnel, sa tendance à l’appropriation culturelle, ses traditions très genrées, sa capitalisation, son rejet de plusieurs coutumes éclectiques, sa complexité exagérée, etc.
Les sorcières ont toujours été séparées de la société parce qu’elles ne partageaient pas les mêmes valeurs et principes que celles de l’église ou l’état. Elles étaient soit brûlées ou mises en prison à vie pour ne plus effectuer de la magie. Même si aujourd’hui les sorcières ont plus de liberté qu’auparavant, elles sont quand même méfiantes à l’égard des autres lors de leur pratique spirituelle. Quand on y pense, ce ne sont pas juste les sorcières qui sont débranchées quand elles sont dans leur mode spirituel, ça peut arriver à n’importe quelle personne qui croit en quelque chose. Par exemple, un chrétien qui est en train de prier, pour moi il se déconnecte complètement de la réalité, mais sauf que pour lui, c’est vu comme normal et positif dans la société contrairement à une sorcière.
Avant toute chose, je tiens à préciser un élément qui n’est pas bien défini dans les trois textes précédents : la Wicca n’est pas la seule et unique pratique de la sorcellerie ancienne et moderne. En fait, celle-ci est même beaucoup critiquée par de nombreux pratiquants de la magie et païens de toutes croyances. Les raisons sont nombreuses : son caractère institutionnel, sa tendance à l’appropriation culturelle, ses traditions très genrées, son rejet de plusieurs coutumes éclectiques, sa capitalisation, sa complexité exagérée, etc. Mais souvent, la dénonciation principale qui est faite à la Wicca est son idée de séparer la sorcellerie en magie blanche et noire, en un affrontement entre le bien et le mal. Ce concept est en fait un reflet de la chrétienté et des autres religions monothéistes, qui désirent établir une délimitation entre le « Bien » et le « Mal », pour ainsi contrôler les mœurs.
Or, la croyance en la magie s’apparente traditionnellement en chaos, en une zone grise qui est le reflet de la nature. Nous pouvons observer cette conception dans de nombreuses mythologies païennes et chamaniques, où les figures représentatives et divinités sont à la fois humaines et anthropomorphiques. Ainsi, les personnes païennes sont nombreuses à reprocher aux créateurs de la Wicca d’avoir institué religieusement des coutumes éclectiques, qui se pratiquent clandestinement et symboliquement. Bref, je tenais à faire ce commentaire pour mieux séparer la pratique de la sorcellerie avec un grand « S » et la religion Wicca, soit deux phénomènes culturels distincts qui ne collaborent pas harmonieusement entre eux la plupart du temps.
La spiritualité est une pratique propre à chacun. Ce qu’on veut en faire et où nous voulons l’appliquer dicte une grande partie de notre vie, dont les liens que nous entreprenons avec les gens qui nous entoure. Je ne serais pas prête à dire que cet imaginaire « coupe les réalités sociales » de ceux qui le pratique, seulement qu’il sélectionne avec qui il veut vivre ces réalités. Et ce principe ne s’applique pas seulement à la spiritualité, mais à tout ce qui touche nos croyances fictives en général. Ce sont ces croyances qui nous permettent de nous regrouper et de nous identifier à certains groupe, personne ou institut, fondant notre propre réalité. On ne peut être coupé des « réalités sociales » alors que chaque réalité sociale est composée d’un tout de croyances communes. Y adhérer c’est ce libérer, et vis versa.
Évidement, pour moi cet imaginaire à caractère spirituel libère ma communauté. Pour les Wiccan la magie est en elle même une réalité sociale puisque celle-ci est à la base de tout mouvement dans notre univers. Cela, ne veut pas dire que nous nions toute réalité, ça veut seulement dire qu’en plus de comprendre la réalité nous décidons de l’analyser avec majeur profondeur afin de comprendre le côté ésotérique de celle-ci. Une spiritualité à la base ne peut pas te couper de la réalité puisqu’elle te demande au contraire de ne pas juste l’accepter mais aussi de faire partie ce celle-ci et de connecter avec elle. Elle t’encourage à garder une certaine ouverture d’esprit et de voir plus loins que la superficialité de cette réalité. On croit a ce qu’on voit, à la science et aux faits, mais aussi au choses que nous ne voyons pas nécessairement. Nous pouvons êtres plus d’une chose dans la vie et croire a plus d’une chose et en aucun cas cela nous coupe du monde, mais au contraire nous permet de faire partie de lui dans sa totalité. Nous avons tendances a croire que seulement ce qui est visible existe, mais nous savons que plusieurs choses qu’on ne peut pas toucher ni voir au premier coup d’oeil sont réelles.
Le monde de la spiritualité est très complexe. Une sphère ce trouvant à l’extérieur de notre espace temps. Mais certaine personne arrive a connecter avec ce monde par des religions angélique ou satanique. Par exemple du côté plus sombre on pourrais parler du vaudou ou des pratiques de sorcellerie (magie noir ou magie blanche). Lire aux carte, parler avec les mort ou lire l’avenir sont des domaines dans le spirituel qui touche à de la magie blanche. À l’inverse le côté angélique représente Dieu et ses myriades d’anges. Comme le YinYang il y a le bien et le mal spirituel coexiste pour nous permettre d’avoir le libre arbitre sur notre vie.
Je crois que comme toute autre communauté spirituelle et/ou religieuse, ses participants y adhèrent afin d’y trouver une certaine liberté. La spiritualité est quelque chose de rassurant, qui peut offrir des pistes de réflexion aux questions sans réponses, ainsi que des lignes directrices sur comment vivre sa vie. Toute religion est en quelque sorte un imaginaire, et peut porter à couper ses disciples de certaines réalités sociales, mais il s’agit également de communautés, où sont formées leurs propres réalités sociales. En gros, la spiritualité, qu’il s’agissent de sorcières ou de chrétienté, ne sera jamais que noire ou blanche, mais peut tout de même être grandement bénéfique.
La spiritualité est quelque chose de rassurant pour grand nombre d’individus qui vivent dans un monde ou` le réel est difficilement accepté. Un certain espoir se dégage de croyances spirituelles, puisqu’elles permettent à l’individu moyen d’espérer un meilleur futur. Ces croyances font partie intégrante de de l’imaginaire de la population, tout comme la représentation de la figure de la sorcière. Les Wiccas et sorcières représentent, pour beaucoup d’individus, une menace à leur futur, puisqu’ils ne contestent pas les croyances religieuses qui leur sont présentées. En effet, l’Église rejette la Wicca pour plusieurs raisons : son caractère institutionnel, sa tendance à l’appropriation culturelle, ses traditions très genrées, sa capitalisation, son rejet de plusieurs coutumes éclectiques, sa complexité exagérée, etc.
Les sorcières ont toujours été séparées de la société parce qu’elles ne partageaient pas les mêmes valeurs et principes que celles de l’église ou l’état. Elles étaient soit brûlées ou mises en prison à vie pour ne plus effectuer de la magie. Même si aujourd’hui les sorcières ont plus de liberté qu’auparavant, elles sont quand même méfiantes à l’égard des autres lors de leur pratique spirituelle. Quand on y pense, ce ne sont pas juste les sorcières qui sont débranchées quand elles sont dans leur mode spirituel, ça peut arriver à n’importe quelle personne qui croit en quelque chose. Par exemple, un chrétien qui est en train de prier, pour moi il se déconnecte complètement de la réalité, mais sauf que pour lui, c’est vu comme normal et positif dans la société contrairement à une sorcière.
Avant toute chose, je tiens à préciser un élément qui n’est pas bien défini dans les trois textes précédents : la Wicca n’est pas la seule et unique pratique de la sorcellerie ancienne et moderne. En fait, celle-ci est même beaucoup critiquée par de nombreux pratiquants de la magie et païens de toutes croyances. Les raisons sont nombreuses : son caractère institutionnel, sa tendance à l’appropriation culturelle, ses traditions très genrées, son rejet de plusieurs coutumes éclectiques, sa capitalisation, sa complexité exagérée, etc. Mais souvent, la dénonciation principale qui est faite à la Wicca est son idée de séparer la sorcellerie en magie blanche et noire, en un affrontement entre le bien et le mal. Ce concept est en fait un reflet de la chrétienté et des autres religions monothéistes, qui désirent établir une délimitation entre le « Bien » et le « Mal », pour ainsi contrôler les mœurs.
Or, la croyance en la magie s’apparente traditionnellement en chaos, en une zone grise qui est le reflet de la nature. Nous pouvons observer cette conception dans de nombreuses mythologies païennes et chamaniques, où les figures représentatives et divinités sont à la fois humaines et anthropomorphiques. Ainsi, les personnes païennes sont nombreuses à reprocher aux créateurs de la Wicca d’avoir institué religieusement des coutumes éclectiques, qui se pratiquent clandestinement et symboliquement. Bref, je tenais à faire ce commentaire pour mieux séparer la pratique de la sorcellerie avec un grand « S » et la religion Wicca, soit deux phénomènes culturels distincts qui ne collaborent pas harmonieusement entre eux la plupart du temps.
La spiritualité est une pratique propre à chacun. Ce qu’on veut en faire et où nous voulons l’appliquer dicte une grande partie de notre vie, dont les liens que nous entreprenons avec les gens qui nous entoure. Je ne serais pas prête à dire que cet imaginaire « coupe les réalités sociales » de ceux qui le pratique, seulement qu’il sélectionne avec qui il veut vivre ces réalités. Et ce principe ne s’applique pas seulement à la spiritualité, mais à tout ce qui touche nos croyances fictives en général. Ce sont ces croyances qui nous permettent de nous regrouper et de nous identifier à certains groupe, personne ou institut, fondant notre propre réalité. On ne peut être coupé des « réalités sociales » alors que chaque réalité sociale est composée d’un tout de croyances communes. Y adhérer c’est ce libérer, et vis versa.
Évidement, pour moi cet imaginaire à caractère spirituel libère ma communauté. Pour les Wiccan la magie est en elle même une réalité sociale puisque celle-ci est à la base de tout mouvement dans notre univers. Cela, ne veut pas dire que nous nions toute réalité, ça veut seulement dire qu’en plus de comprendre la réalité nous décidons de l’analyser avec majeur profondeur afin de comprendre le côté ésotérique de celle-ci. Une spiritualité à la base ne peut pas te couper de la réalité puisqu’elle te demande au contraire de ne pas juste l’accepter mais aussi de faire partie ce celle-ci et de connecter avec elle. Elle t’encourage à garder une certaine ouverture d’esprit et de voir plus loins que la superficialité de cette réalité. On croit a ce qu’on voit, à la science et aux faits, mais aussi au choses que nous ne voyons pas nécessairement. Nous pouvons êtres plus d’une chose dans la vie et croire a plus d’une chose et en aucun cas cela nous coupe du monde, mais au contraire nous permet de faire partie de lui dans sa totalité. Nous avons tendances a croire que seulement ce qui est visible existe, mais nous savons que plusieurs choses qu’on ne peut pas toucher ni voir au premier coup d’oeil sont réelles.
Le monde de la spiritualité est très complexe. Une sphère ce trouvant à l’extérieur de notre espace temps. Mais certaine personne arrive a connecter avec ce monde par des religions angélique ou satanique. Par exemple du côté plus sombre on pourrais parler du vaudou ou des pratiques de sorcellerie (magie noir ou magie blanche). Lire aux carte, parler avec les mort ou lire l’avenir sont des domaines dans le spirituel qui touche à de la magie blanche. À l’inverse le côté angélique représente Dieu et ses myriades d’anges. Comme le YinYang il y a le bien et le mal spirituel coexiste pour nous permettre d’avoir le libre arbitre sur notre vie.
Je crois que comme toute autre communauté spirituelle et/ou religieuse, ses participants y adhèrent afin d’y trouver une certaine liberté. La spiritualité est quelque chose de rassurant, qui peut offrir des pistes de réflexion aux questions sans réponses, ainsi que des lignes directrices sur comment vivre sa vie. Toute religion est en quelque sorte un imaginaire, et peut porter à couper ses disciples de certaines réalités sociales, mais il s’agit également de communautés, où sont formées leurs propres réalités sociales. En gros, la spiritualité, qu’il s’agissent de sorcières ou de chrétienté, ne sera jamais que noire ou blanche, mais peut tout de même être grandement bénéfique.