Dans les gravures et la peinture, la représentation de la sorcière n’est pas la même que celle rencontrée au cinéma ou dans les histoires pour enfants. Formulez des hypothèses permettant d’expliquer la différence.
7 Replies to “L’art pictural et la sorcière”
La peinture et le cinéma sont deux choses différente. Premièrement la peinture est venu avant ce qui expliquerais entre autres pourquoi la représentation est différente parce que la peinture était existante au moment ou il y avait la chasse au sorcière . Aussi les peinture de cette époque avait souvent un lien avec la religion et donc on représentait la sorcière comment on la percevais et non comment elle étais vraiment. Mais au fil des siècle cette image c’est perfectionner et est aussi apparue le cinéma etc.. Donc, on a eu le droit a des images de belles femmes qui représentais la sorcière comme l’image de la Circé. Mais en même temps au cinéma il y avait aussi l’image d’une personne laide et méchante comme dans le conte de Disney: Blanche neige et les 7 nains.
Je crois que la plus grande difference entre les films et les peintures c’est la présence de la religion. Quand on parle de sorcière en Grèce Antique c’est plus des personnages envoûtants et utiles (parfois) comme l ‘oracle de Delphes. Alors que quand on voit les sorcières au temps de la chrétienté, elles sont représentées de façon démoniaque et laide. Aussi, la presence de beauté dans la religion catholique est souvent synonyme d’enchanteresse et de méchante camouflée. Pour ce qui est des films, la sorcière est encore représentée comme méchante, mais selon l’époque il se peut que la sorcière devienne la personage principale comme dans sorcière bien-aimée ou Sabrina.
Juste avec les peintures de l’article l’enchantement de l’art j’ai remarqué une différence. Ici nous avons des sorcière de toutes sorte, mais il y a une récurrence. Ces femmes sont attirante, intrigante, fascinante, mais toujours avec une représentation plus sombre dans le meme tableau. Un jolie femme qui représente la nudité et la virginité est dans le meme tableau qu’un homme sombre et laid dans une pièce macabre. Ici je crois que la sorcière est présenter sur une idée ou elle représente le diable, oui, ,mais aussi qu’elle joue un rôle énorme dans plusieurs histoires ou elle prévoit l’avenir et aide les autre avec leur magie. J’aime aussi la représentation super réaliste des sorcières que Michel Ange à peint. Des femmes aucunement repoussante qui sont toujours présenter avec leur livre. Sans aucune créatures qui les entourent, sans avoir des expression diabolique et sans être sur un balais, Michel Ange représente tout de même une sorcière.
La représentation de la sorcière dans le monde de l’art a grandement évoluée et s’est perfectionnée au fil des siècles selon l’importance et la place quelle prenait dans la société. Elle a autant été imagée ayant les caractéristiques d’une femme laide, vieille et maléfique que comme une femme grande, forte et ravissante. Selon l’époque et son rôle dans la société, ce personnage a été paufiné et ajusté pour répondre aux désirs et croyances de la population.
La sorcière en dessin ou en peinture a permis aux gens d’avoir une représentation commune de la sorcière et a évidemment permis a une communauté de croire en quelque chose qui les réunissaient vers un certain but.
Le cinéma joue une part de « confirmation » de l’image de la sorcière. Il affiche, pour la majorité du temps, l’image d’une belle femme ou l’image d’une femme hideuse un peu folle. Le cinéma présente ces images dans le monde des tout-petits et dans le monde des adultes. Il serait possible de comparer ces images à Circée et Médée.
Je pense que nous pouvons relier les peintures et les gravures à l’imaginaire d’avant. En d’autres mots, un imaginaire affecté par les récits de l’église. Cette institution qui essaie de tout relié aux démons et aux autres phénomènes « qui ne peuvent s’expliquer ». Alors qu’aujourd’hui, tout peut s’expliquer grâce à la science. Cependant, il y a un désir de contrôler la femme avec l’État. Par exemple, le cinéma donne l’exemple de la femme parfaite et de la femme imparfaite. ( bon commentaire)
Au fil de l’histoire, la représentation de la figure de la sorcière a aussi évolué au niveau des arts plastiques.
D’une part, les artistes la représente comme très féminine, jeune, belle et sensuelle; c’est notamment le cas avec l’image de la magicienne Circé. La femme, la sorcière fascine plus qu’elle repousse, sa représentation ne suscitant aucunement la peur ou la répulsion.
D’une autre part, la sorcière est également représentée d’une manière qui rejoint beaucoup plus l’état d’esprit qui règne partout dans l’Europe à cette époque. Effectivement, la femme est totalement diabolisée par son aspect repoussant et monstrueux, avec des traits assez masculins. Elle a un aspect perfide, animal et plein de folie qui suscite la peur. Les femmes sont souvent peintes accompagnées de chaudrons, de boucs, de balais ou encore d’ossements humains, car selon les superstitions populaires, les sorcières se nourrissent d’humains une fois la nuit tombée. Les représentations de Satan et du démon (homme avec une tête de bouc) sont aussi très courantes, créant des scènes aux atmosphères inquiétants et mystiques.
Contrairement à leur représentation dans le cinéma, en art, les sorcières sont majoritairement peintes avec des traits diaboliques et une immense laideur. Je crois qu’elles sont représentées ainsi car, à l’époque, la peinture prenait la majeure partie de son inspiration dans les sujets religieux. Selon l’Église, la femme sorcière était associées au démon, à une sexualité immorale, au cannibalisme ainsi qu’à d’autres crimes horribles. Les peintres illustraient donc la croyance populaire de l’image de la sorcière. L’exception de la magnifique représentation de Circé vient sans doute, selon moi, du fait qu’elle était plus vue comme une magicienne séductrice que comme une terrifiante sorcière. En somme, l’art de l’histoire représente beaucoup plus le côté sombre de la sorcière, contrairement au cinéma de nos jours, puisque c’est cette image qui faisait partie de leur quotidien, qui alimentait les croyances populaires communes et qui maintenait le statut inférieur, mystérieux et maléfique de la femme pour permettre aux hommes de dominer au sein de la société.
La peinture et le cinéma sont deux choses différente. Premièrement la peinture est venu avant ce qui expliquerais entre autres pourquoi la représentation est différente parce que la peinture était existante au moment ou il y avait la chasse au sorcière . Aussi les peinture de cette époque avait souvent un lien avec la religion et donc on représentait la sorcière comment on la percevais et non comment elle étais vraiment. Mais au fil des siècle cette image c’est perfectionner et est aussi apparue le cinéma etc.. Donc, on a eu le droit a des images de belles femmes qui représentais la sorcière comme l’image de la Circé. Mais en même temps au cinéma il y avait aussi l’image d’une personne laide et méchante comme dans le conte de Disney: Blanche neige et les 7 nains.
Je crois que la plus grande difference entre les films et les peintures c’est la présence de la religion. Quand on parle de sorcière en Grèce Antique c’est plus des personnages envoûtants et utiles (parfois) comme l ‘oracle de Delphes. Alors que quand on voit les sorcières au temps de la chrétienté, elles sont représentées de façon démoniaque et laide. Aussi, la presence de beauté dans la religion catholique est souvent synonyme d’enchanteresse et de méchante camouflée. Pour ce qui est des films, la sorcière est encore représentée comme méchante, mais selon l’époque il se peut que la sorcière devienne la personage principale comme dans sorcière bien-aimée ou Sabrina.
Juste avec les peintures de l’article l’enchantement de l’art j’ai remarqué une différence. Ici nous avons des sorcière de toutes sorte, mais il y a une récurrence. Ces femmes sont attirante, intrigante, fascinante, mais toujours avec une représentation plus sombre dans le meme tableau. Un jolie femme qui représente la nudité et la virginité est dans le meme tableau qu’un homme sombre et laid dans une pièce macabre. Ici je crois que la sorcière est présenter sur une idée ou elle représente le diable, oui, ,mais aussi qu’elle joue un rôle énorme dans plusieurs histoires ou elle prévoit l’avenir et aide les autre avec leur magie. J’aime aussi la représentation super réaliste des sorcières que Michel Ange à peint. Des femmes aucunement repoussante qui sont toujours présenter avec leur livre. Sans aucune créatures qui les entourent, sans avoir des expression diabolique et sans être sur un balais, Michel Ange représente tout de même une sorcière.
La représentation de la sorcière dans le monde de l’art a grandement évoluée et s’est perfectionnée au fil des siècles selon l’importance et la place quelle prenait dans la société. Elle a autant été imagée ayant les caractéristiques d’une femme laide, vieille et maléfique que comme une femme grande, forte et ravissante. Selon l’époque et son rôle dans la société, ce personnage a été paufiné et ajusté pour répondre aux désirs et croyances de la population.
La sorcière en dessin ou en peinture a permis aux gens d’avoir une représentation commune de la sorcière et a évidemment permis a une communauté de croire en quelque chose qui les réunissaient vers un certain but.
Le cinéma joue une part de « confirmation » de l’image de la sorcière. Il affiche, pour la majorité du temps, l’image d’une belle femme ou l’image d’une femme hideuse un peu folle. Le cinéma présente ces images dans le monde des tout-petits et dans le monde des adultes. Il serait possible de comparer ces images à Circée et Médée.
Je pense que nous pouvons relier les peintures et les gravures à l’imaginaire d’avant. En d’autres mots, un imaginaire affecté par les récits de l’église. Cette institution qui essaie de tout relié aux démons et aux autres phénomènes « qui ne peuvent s’expliquer ». Alors qu’aujourd’hui, tout peut s’expliquer grâce à la science. Cependant, il y a un désir de contrôler la femme avec l’État. Par exemple, le cinéma donne l’exemple de la femme parfaite et de la femme imparfaite. ( bon commentaire)
Au fil de l’histoire, la représentation de la figure de la sorcière a aussi évolué au niveau des arts plastiques.
D’une part, les artistes la représente comme très féminine, jeune, belle et sensuelle; c’est notamment le cas avec l’image de la magicienne Circé. La femme, la sorcière fascine plus qu’elle repousse, sa représentation ne suscitant aucunement la peur ou la répulsion.
D’une autre part, la sorcière est également représentée d’une manière qui rejoint beaucoup plus l’état d’esprit qui règne partout dans l’Europe à cette époque. Effectivement, la femme est totalement diabolisée par son aspect repoussant et monstrueux, avec des traits assez masculins. Elle a un aspect perfide, animal et plein de folie qui suscite la peur. Les femmes sont souvent peintes accompagnées de chaudrons, de boucs, de balais ou encore d’ossements humains, car selon les superstitions populaires, les sorcières se nourrissent d’humains une fois la nuit tombée. Les représentations de Satan et du démon (homme avec une tête de bouc) sont aussi très courantes, créant des scènes aux atmosphères inquiétants et mystiques.
Contrairement à leur représentation dans le cinéma, en art, les sorcières sont majoritairement peintes avec des traits diaboliques et une immense laideur. Je crois qu’elles sont représentées ainsi car, à l’époque, la peinture prenait la majeure partie de son inspiration dans les sujets religieux. Selon l’Église, la femme sorcière était associées au démon, à une sexualité immorale, au cannibalisme ainsi qu’à d’autres crimes horribles. Les peintres illustraient donc la croyance populaire de l’image de la sorcière. L’exception de la magnifique représentation de Circé vient sans doute, selon moi, du fait qu’elle était plus vue comme une magicienne séductrice que comme une terrifiante sorcière. En somme, l’art de l’histoire représente beaucoup plus le côté sombre de la sorcière, contrairement au cinéma de nos jours, puisque c’est cette image qui faisait partie de leur quotidien, qui alimentait les croyances populaires communes et qui maintenait le statut inférieur, mystérieux et maléfique de la femme pour permettre aux hommes de dominer au sein de la société.